Quand on étouffe entre 4 murs, où les meubles sont trop encombrants, où trop d’objets inutiles s’entassent, où les placards débordent et les fenêtres sont trop petites.
Quand son nouveau bureau est désespérément sombre et bruyant.
Quand on a pris l’habitude de parcourir des kilomètres à pied à travers le désert, la steppe, les forêts de mélèzes et que d’un seul coup il faut fournir du rendement, rendre des comptes …
Comme l’impression que l’avion ne m’a pas laissé le temps de rassembler tout mon être … qui, au demeurant, s’évadait déjà avant !
Je ne porte d’ailleurs aucun intérêt à la diabolique lucarne depuis 5 jours que je suis rentrée …
… trop de moments à revivre, de souvenirs à trier intérieurement,
d’images à graver sur ma pupille.
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