Depuis petite, j’ai du mal à aller dormir. Enfant, je trouvais que c’était une perte de temps. Et puis passé 22h, la nuit enveloppe, la nuit calme, et nous sommes souvent tranquilles car les autres dorment. Etudiante, j’ai vite compris la valeur du sommeil, où chaque 1/4 d’heure de sommeil, en plus, compte.
Mais, me revoilà avec mes démons de la nuit. Même volontaire, il m’est difficile d’aller me coucher, au mieux, pour minuit :
Il faut dire que le travail prenant toute la journée, le soir est consacré à Petit Ginkgo. Et lorsqu’il est couché, après quelques taches ménagères, je suis enfin libre soit de buller devant la télé, soit d’être absorbée par l’ordinateur, pour une recherche, une discussion, un site, des photos. Ce sont mes instants de la journée, sans contrainte d’aucune sorte …
Si …, celle d’aller me coucher passé une certaine heure… Parce que le lendemain …
Le résultat de la fatigue accumulée mène invariablement au même schéma : Pression professionnelle liée à une efficacité décroissante, découragement lié à une déprime soujacente, engendrant une difficulté à gérer positivement les relations humaines.
Tout ceci balayé par une bonne et grande nuit de sommeil.
La chimie conditionne décidément ma vie !
Ce matin est un matin de plusieurs semaines de nuits courtes. Le moral est dans les godasses et c’est le jour rêvé pour les sujets tordus.
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