Un petit air, qui ne paye pas de mine, composé par Sinclair pour la BO d’un petit film, susurré par Ange. Distrayant !
Enfin, pas tout à fait …
Tout s’annonçait si différent.
Tout nous semblait un peu plus grand.
On aurait du se réveiller, sur le même oreiller, sans jamais se lasser.
Mais quand vient l’ennuie, vlan, il s’installe.
Tu tombes de ton piédestal,
Et nos caresses et nos jolies habitudes perdent soudain de l’altitude.
Refrain:
Si tu me suis, je te fuis, tu me fuis, je te suis, c’est ma vie et je l’envoie en l’air
Tant qu’il est temps, qu’il est temps, tant qu’il est encore temps de changer,
Voilà je change d’air.
Si tu me fuis, je te suis, tu me suis, je te fuis, c’est ma vie et je la veux en l’air.
Notre amour n’a pas passer l’hiver.
J’en ai rêvé de te revoir !
J’en ai connu des coucous d’un soir.
Qui aurait cru qu’à vivre à deux, on allait devenir vieux, avant l’heure, avant eux ?
Mais un soir en prenant l’escalier, j’ai vu l’amour sur le palier.
Et son sourire, son vieux pull, ses habitudes ont pris soudain de l’altitude.
Refrain
Si tu me fuis, je te suis, tu me suis, je te fuis, c’est ma vie et je la veux en l’air
Mon amour passeront nous l’hiver ?
Si tu me suis, je te fuis, tu me fuis, je te suis, c’est ma vie et je la veux en l’air
Mon amour passeront nous l’hiver ?
Jeanne Cherhal
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