La brièveté de la vie humaine doit conduire à une obsession du temps, non pas le temps qui passe, qui s’écoule, mais à une sorte de devoir de faire du temps, quelque chose de fécond.
Patrice Franceschi,
Thé ou Café, Mars 2009
La brièveté de la vie humaine doit conduire à une obsession du temps, non pas le temps qui passe, qui s’écoule, mais à une sorte de devoir de faire du temps, quelque chose de fécond.
Patrice Franceschi,
Thé ou Café, Mars 2009
[…] n’y a donc pas que le temps que l’on puisse rendre fécond … […]