L’objectif de beaucoup de ces méthodes de préparation à l’accouchement est justement de se rapprocher d’un atavisme que nous avons largement perdu et qui pose actuellement problème!
LA PRÉPARATION que j’ai choisie, est une façon de se rapprocher le plus possible du bon sens et de la nature.
Ce qui n’est pas gagné dans les pays riches à notre époque, sur le sujet.
En attendant, on est de plus en plus entouré médicalement.
Ce qui a ses avantages au niveau mortalité infantile et maternelle.
Seulement, de ce fait, les médecins se cachent derrière des procédures et des statistiques qui les arrangent dans la pratique de leur métier uniquement, et loin des besoins ancestraux de la patiente.
L’OMS est très bavarde à ce sujet !!
la France n’est d’ailleurs que 13eme des pays riches en terme de limitation de la mortalité malgré le tout médical !
Et je ne parle pas des actes chirurgicaux…
Si tu n’as pas un minimum de caractère pour discuter avec l’équipe, tu ne fais que subir les évènements : voilà pourquoi je fais la différence entre SE FAIRE accoucher et DONNER naissance.
Ici, l’importance de la sémantique n’est pas dans le vocabulaire obstétrique, mais bien dans les verbes d’ACTION.
Cela n’a donc rien à voir avec du politiquement correct !
Et c’est justement le coté incohérent par rapport à la naissance naturel que je déplore !!
Je ne parle pas de réticence ou de peur, mais bien de conscience de son propre corps et de celui de l’enfant qui est entièrement acteur et effectue lui-même un énorme effort.
Pour nous comme pour les animaux.
Quoique, je ne pense pas avaler le placenta …
Et quand je parlais de nos mères, je parlais de l’obscurantisme de leur époque qui ne leur permettait aucun choix et étaient considérées comme ignorantes bien qu’instruites…
Fort heureusement, de ce point de vue là, les tabous se sont largement levés.
Et la position indienne d’accouchement en est l’exemple rêvé !
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