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Solitudine

Voler en bord de mer est sujet à un équilibre difficile à trouver.
Pour le soaring, il faut que le vent soit suffisamment fort pour pouvoir rester en l’air et jouer avec le vent dynamique le long du relief. A contrario, si le vent est trop fort, avec peu de technique les décollages sont dangereux et les atterrissages au sommet méritent grande précision.

Par contre le paysage est à couper le souffle et l’on peut jouer avec la géographie du terrain. Il y a une fenêtre d’exploitation à trouver, propre à chacun, en attendant de progresser.

Tout bien refléchi, ma conception du parapente est tout de même assez individuelle. Certes le treuil est une excellente alternative en plaine, mais les vols qui y sont liés m’ennuient. A part faire des figures, pas grand chose à exploiter si l’on ne fait pas de cross. Soit les ascendances sont microscopiques, soit ça monte partout et c’est galère pour redescendre.

Published inAu fil des jours...Parapente

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