ou Les Chemins de la liberté, en français.
L’aventure incroyable et présentée comme véridique d’une poignée d’évadés d’un goulag à travers la Sibérie, les plaines de Mongolie, le désert de Gobi, l’Himalaya, la muraille de Chine jusqu’au golfe du Bengale, lors de l’hiver 1941, contée par le virtuose Peter Weir, réalisateur australien de mes préférés Galipoli et L’Année de tous les dangers.
Le film se base sur le récit controversé de Sławomir Rawicz, The Long Walk (traduit en France par À marche forcée). Après enquête, il semblerait que le livre ait été inspiré de l’expérience d’un compatriote polonais, Witold Glinski.
Une histoire déjà connue pour qui a lu L’Axe du Loup de Sylvain Tesson, témoignage d’une vraie ‘reconstitution du périple des évadés’ sur 6 000 km.
Vivement un peu de temps à moi pour découvrir le film,
me délecter des talents de Colin Farrell 🙂 et
revivre la tourmente de la sécheresse du Désert de Gobi.
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