Si enfant, vous vous amusiez de l’art de la construction en bois …
… alors adulte, vous pourrez toujours trouver le loisir de vous y adonner.
Pour ma part, si je n’ai pas perdu le goût des constructions, c’est fort aise d’avoir en main une visseuse électrique et une clef à cliquet, vu l’ampleur de la tâche et notamment les 14 lattes à viser en guise de sommier.
Dans son « lit aussi haut qu’un arbre » (en version une place !), Petit Ginkgo aura le bonheur de rêver à plus d’un mètre soixante du sol et de profiter ensuite de tout l’espace à terre, pour mettre en scène son imagination.
Sa joie me dévoile celle que j’aurais éprouvée
si la chance m’avait apporté un tel lit, à son age … ou non !
J’ai vu de telles bannettes dans Le Redoutable à la Cité de la Mer de Cherbourg. Impressionnant !
J’ai connu vers mes 20 ans « un lit aussi haut qu’un arbre » mais j’avais un copain en dessous et encore un copain en dessous: c’était dans la marine les fameuses « bannettes », il est vrai qu’à cette époque il n’a avait pas de femmes à bord.
Moi j’aurais bien voulu en avoir un comme ça! Plutôt qu’un bout de canapé, certes confortable, dans la salle de l’appartement.
c’est une ambiance plus que sympa.
et puis il sera « chez lui » et s’il est en haut, ^
pour lui ça signifie qu’il est considèré comme
un grand!!!!!!!!!!!!!!!!
ils adorent!!!!!!!!!!!!!et on peut comprendre!!!!!!