Les poupées et baigneurs sont du sexe des anges …
Au milieu des voitures, garage, animaux, vis, ardoise et autre train, Petit Ginkgo reçoit du Père Noël, un bébé avec sa poussette. Petit gars peut nommer les parties du corps, réussir avec ce poupon, ce qui est encore difficilement maitrisable par lui-même, jouer à s’occuper d’un plus petit, ou parcourir les couloirs, à fond les manettes, en poussant la poussette.
L’enfant donne sa sucette au bébé de plastique, puis décide de le déshabiller, comme pour le mettre sur le pot (livré avec). Il reste interdit, déclarant : « Pas zizi ! ». En effet, le baigneur n’est ni une fille, ni un garçon …
La vie est pourtant faite ainsi et toucher du doigt, une réalité toute naturelle ne me parait relever d’aucun tabou ! Qu’y a-t-il de choquant dans cette nature du genre ? Dans quel but aseptiser le milieu jusqu’aux jeux des enfants ? Certes, l’enfance a besoin de féérie, mais en quoi est-ce antinomique ?
La logique du petit observateur se rendra bien un jour à l’évidence : « C’est un bébé qui ne peut faire pipi ! »
La perplexité me gagne … Voilà encore un symptôme d’une société ombrageuse, formattant des névrosés !
ah!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
ils ont fait des progrès……… Papa noël a apporté des « bébés jumeaux » à ma petite fille, il y a bien maintenant , il y a bien le garçon et la fille !!!!!!!!!