Je pense à vous, j’écris des billets et puis je les trouve nuls.
Alors ils tombent dans l’oubli.
Après, j’oublie que je n’ai pas publié et je suis surprise que mon dernier post soit celui que je viens de voir.
En attendant que je dépasse cette quête de perfection, que je m’affranchisse aussi dans la vraie vie de cette exigence trop envahissante pour mon activité libérale, voici Boris Vian par Le Mock.
J’aime bien Le Mock, ils me font découvrir des fils de la littérature qui m’étaient inconnus.
Au plaisir de vous lire.
Merci pour cette trouvaille, je m’en suis régalé