Voilà un sujet sur lequel travaille Dominique Belpomme, oncologue à l’Hôpital Européen Georges Pompidou à Paris. Il estime que «des doses très faibles de perturbateurs endocriniens peuvent induire des cancers du sein ou de la prostate 30 ans après».
Il démontre aussi que la pénétration par voie cutanée est «celle qui permet la plus grande perturbation de l’organisme» comparativement aux voies respiratoires ou alimentaire, car «la peau ne sait pas détoxifier».
La question des cosmétiques est donc naturellement posée … alors qu’une autre polémique prend pour cible la marque Mustela, de cosmétiques pour bébé.
Voilà ce qui fait le succès du Cosmetox de Greenpeace, depuis plusieurs année.
Mais attention, tout n’est pas blanc, ni noir … Il faut surveiller le risque de prolifération microbienne dans les crèmes exemptes de conservateurs. De plus, il faudra bien remplacer les actuels paraben et autres substances mises en cause. Quels tests auront subies les nouvelles matières premières ?
J’ai l’impression d’effectuer une régression sur le progrès … Vive les formules de beauté, à usage unique et restreint, de nos arrières grands-mères !
Les causes environnementales et comportementales ont probablement une influence marquée sur les cancers et dysfonctionnements thyroïdiens, même s’il y a une grande part de prédisposition. C’est ce que souligne David Servan-Schreiber, conseillant une hygiène de vie plus adaptée, dans son livre Anticancer
Il dirige un site/blog/forum à l’usage de tout un chacun, qui parle de prévention, de traitement et de vie en général. A découvrir : Guerir.fr
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