La mort dans l’âme, Roland Jourdain abandonne hier sur ces mots :
« La décision est douloureuse mais de toute façon, je m’en voudrais toute ma vie si jamais je passais près d’un port et que je ne m’arrêtais pas, puis que 24h ou 48h plus tard, il m’arrivait un pépin dans lequel je risquerais la vie de quelqu’un pour venir me chercher, dans lequel je risquerais la vie de mon bateau ou devrais laisser mon bateau. La mer, ce n’est pas une poubelle. Donc voilà, c’est une décision de bon sens marin… ».
Chapeau, Roland, qui méritait vraiment cette deuxième place si près du but !
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