Ce matin me renvoie en ces temps où j’allais à pied à l’école et où l’odeur fraiche de l’herbe promettait un orage carabiné.
Les nuages sombres atténuent le jour avant que se déverse une pluie de cordes.
Un tourbillon m’a pris, m’éloignant des signes, des colères de la nature qui sont indispensables à prévoir en la voile.
Lever le menton pour scruter le ciel n’est redevenu une habitude qu’en touchant au parapente.
Mille contours, mille couleurs, mille aspects se forment au dessus de nos têtes et m’invitent au voyage.
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