De retour d’une semaine de vie en collectivité, je suis forcée de constater que la vie est injuste.
Il y a les poissons dans l’eau, les grandes gueules qui ont un avis tranché sur tout, les biens sous tout rapport prêts à rendre service à tout bout de champ, les complètement effacés même pour filer un coup de main à passer le balais avant de partir, les bonnes oreilles et les profondément angoissés.
Pourtant tous tournés vers un objectif semblable, les profils diffèrent du tout au tout.
Comme le W du voyageur, l’expérience était loin d’être linéaire …
La dynamique d’un groupe de 30 personnes pourrait constituer un livre : les affinités, les pré-connaissances, les contraintes logistiques mènent à la formation de plus petits groupes. Et ces sous-ensembles non soumis à une pression compétitive s’interpénètrent, s’échangent par petites touches.
Immanquablement, il y a les affinités directes et les répulsions typiquement physiques. La bonne vie du groupe étant primordiale, les « adhérences » sont lissées pour ne pas trop déstabiliser l’équilibre. Sachant que l’expérience est prévue pour un temps donné court, les uns et les autres raisonnent leurs comportements.
Malgré toute cette bonne volonté, les questions d’éducation, de courtoisie et d’altruisme se posent … et m’inquiètent.
quand on accepte le principe du groupe,il faut
effectivement faire preuve d’un peu de courtoisie,de beaucoup d’éducation ( mais comme elle s’acquiert depuis la toute petite enfance, normalement il n’a a pas à se forcer!!!) et d’une petite pointe d’altruisme, et s’il y a l’idée du groupe, ça s’impose aussi naturellement, donc, si chacun fait son petit effort en fonction de sa personnalité, tout fonctionne!!!!!!!!!
MAIS…………………… par expérience….je sais que ce n’est pas toujours évident et souvent
à cause d’une ou deux personnes.