C’est au professeur N’Diaye que je dois en partie ma conviction future que la conquête de toute liberté passe d’abord par la libération de l’esprit bien avant celle du corps ; et qu’il est donc possible d’être plus libre entre quatre murs qu’au fin fond des grands espaces.
Patrice Franceschi,
Avant la dernière ligne droite, Editions Arthaud, p118
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