« Aujourd’hui, les télés et les quotidiens japonais ne forment plus des journalistes mais de bons et loyaux employés. Les jeunes gens ardents et motivés font peur et passent rarement le cap des entretiens d’embauche. Les administratifs ont pris le pouvoir et ne veulent rien qui puisse indisposer les annonceurs. Evidemment, on n’empêche pas les journalistes d’enquêter, mais s’ils sont jugés trop sensibles, leurs sujets ont peu de chances d’être publiés ou diffusés. »
Ryuichi Hirokawa, Ryuichi Hirokawa a tout vu à Fukushima, 05-07-2011
Pas qu’au Japon …
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