J’attendais avec impatience
de laisser les enfants chez leurs grands-parents !
Ginkgo et Petit Biloba aussi, semble-t-il, vue l’indifférence avec laquelle ils m’ont laissé partir, une fois en terre promise. C’est de bonne guerre … (quel vocable !)
Pour moi les vacances, même à Lyon, devenaient essentielles :
1; avoir le temps de me retrouver avant tout.
2; ne pas être constamment sollicitée par le quotidien (les aller-retour école, sport, courses, imprévus) offre un temps de pause salutaire à l’apaisement. L’apaisement ré-ouvre ma capacité à analyser les situations sous la lumière des faits et non des impressions. 😉
3; accueillir les émotions des uns et des autres étaient devenu une charge trop lourde et unilatérale qui méprisait de plus en plus mes propres besoins.
4; vivre seule au monde avec Ange.
What happenned ?
Mais comment en arrive-t-on à un ce stade de tension avec les meilleures intentions du monde ?
La tête dans le guidon, on n’y voit pas grand chose.
Après avoir repris contact avec moi-même, quelques possibles raisons ont afflué.
A coté de quoi suis-je passée ?
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