Coucher de soleil sur le désert de Gobi tacheté de névés. Une fois le soleil disparu, on voudrait être un peu plus à l’ouest pour que le spectacle continue. Est-ce la raison de l’ébranlement des hordes mongoles vers le couchant ? Le désir de se gorger encore de la beauté des soirs ?
Sylvain Tesson, Géographie de l’instant
Rester stupéfaite entre le souvenir de la lumière du Gobi et son évocation à la page 66 d’un livre de poche …
Be First to Comment