En même temps que j’en subissais l’inconfort et que je pressentais les souffrances qu’il me ferait endurer, j’éprouvais le bonheur de ce dépouillement. Je comprenais combien il était utile de tout perdre, pour retrouver l’essentiel. Jean-Christophe Rufin, Immortelle randonnée (Folio 2014, p55)
Leave a CommentPrendre le temps de vivre ... mais intensément !