Lorsqu’on annonce la mort d’une personne jeune, une question arrive très rapidement : Avait-elle des enfants ?
A la réponse positive, un brutal sentiment de gâchis submerge le questionneur.
Or, outre le spectre d’un avenir plus difficile pour ces enfants, d’une peine incroyable à surmonter et d’un équilibre à reconstruire, finalement cette vie-là n’a pas été vaine …
Imaginez la douleur de parents perdant leur enfant, sans même avoir la chance de voir briller l’étincelle de vie dans les yeux de leurs petits enfants.
Maintenant je le sais, le gâchis, c’est de ne pas avoir connu le riche bonheur de faire pousser un enfant.
Je me contenterai donc, dorénavant, d’une empathie sincère.
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